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jean-luc romero - Page 45

  • Mon discours à la remise des prix du concours du Crips : « On s’engage, on passe le message : le concours des jeunes pour les jeunes »

    Bonjour à toutes et tous,
    Je suis ravi de vous accueillir ici, au sein du Conseil régional d’Île-de-France, pour cette après-midi, consacrée à la remise des prix du concours « On s’engage, on passe le message : le concours des jeunes pour les jeunes », en somme une belle après-midi qui vous est consacrée, une après-midi organisée afin de mettre en valeur votre créativité et votre engagement.
    Jean-Paul Huchon, le président de la région Île-de-France, n’a malheureusement pas pu être présent pour vous accueillir. Croyez bien qu’il le regrette sincèrement et il a souhaité que je le représente en vous souhaitant très chaleureusement à toutes et tous la bienvenue au Conseil régional d’Île-de-France.

    crips,jean-luc romero


    Organiser la présentation des projets sur lesquels vous travaillez depuis des mois et la remise des prix, ici, au Conseil régional d’Île-de-France a un vrai sens pour nous : en effet, depuis 1992, le Conseil régional nous a demandé - et nous finance donc pour cela - de mettre en place un programme ambitieux d’éducation à la santé en lycées et CFA centré sur l’éducation à la sexualité et la prévention des consommations de drogues. Cela fait 23 ans, vous n’étiez, pour la très grande majorité dans cette salle, pas encore nés. Tout cela ne nous rajeunit pas mais bon passons …
    Concrètement, chaque année ce sont plus de 100 000 jeunes en milieu scolaire qui sont concernés directement par les actions du Crips en milieu scolaire, un chiffre important auquel il faut rajouter tout ce qui est fait avec les comités d'éducation à la santé et à la citoyenneté, les personnels de l’infirmerie, les équipes éducatives. L’occasion m’est ici donnée de souligner la qualité du travail fait, sous l’autorité de Gabriel Femenias, par le pôle scolaire du Crips Île-de-France, avec cette capacité à discuter, échanger afin de proposer des actions toujours plus efficaces et répondant aux besoins des jeunes et des équipes éducatives. Je veux aussi souligner la tout aussi grande qualité du partenariat que nous avons bien sûr avec la région Ile-de-France mais aussi avec l’ensemble du monde de l’éducation nationale, au premier desquels les rectorats.
    Alors pourquoi un concours ?

    crips,jean-luc romero


    Au Crips, nous avons une tradition de concours : des concours de scénarios « 3000 scénarios contre un virus », « Scénarios sur la drogue », « Scénarios contre les discriminations », de courts-métrages « VIH-pocket films», de graphisme « Images contre le sida », « Drogues : plaisirs, risques, dépendances » « Nous, les hommes et les femmes ». L’année dernière, c’est un concours d’écrits qui a été organisé « Donne ta voix, change les regards ! », un concours de poésie urbaine, de slams contre la sérophobie, c’est-à-dire sur les discriminations touchant les personnes séropositives. Un concours qui a très bien marché avec un réel investissement des jeunes, donc autant continuer sur cette lignée, cette fois-ci sur la thématique des addictions.
    Je ne vais pas revenir sur les raisons pour lesquelles nous avons choisi ce thème des addictions, vous avez tous eu une séance sur cette question avec un animateur au Crips Île-de-France. Mais je voudrais revenir sur la dimension presque communautaire du concours. En effet, cette année, nous avons voulu rajouter cette dimension encore plus participative et impactante que constitue cette démarche de prévention par les pairs. Alors la prévention par les pairs est définie, pardonnez-moi c’est un peu long comme « cette approche éducationnelle qui fait appel à des pairs (personne du même âge, de même contexte social, fonction, éducation ou expérience) pour donner de l’information et pour mettre en avant des types de comportements et de valeurs ». En somme comme le résume très bien le titre du concours : le concours des jeunes pour les jeunes.
    C’est une démarche exigeante aussi bien pour les jeunes que pour les personnes qui accompagnent la création de ce type de projet car l’idée n’est de vous dire : voilà le ou les problèmes, débrouillez-vous et donc, concrètement parlant, de vous laisser seuls devant les dossiers, mais d’être à vos côtés sans imposer, simplement accompagner.

    crips,jean-luc romero


    Mais c’est une démarche que j’apprécie tout particulièrement dans son fondement et sa philosophie, je dirai même.
    Non, le jeune n’existe pas, il y a des jeunes, des individualités chacun est unique et il n’y a pas une définition unique de ce que serait un jeune.
    Non, les jeunes ne doivent être seulement définis que comme des personnes à risques, qui prennent des risques. Le risque ne définit évidemment pas la catégorie des jeunes.
    Oui, les jeunes ont droit à avoir une vision sur eux moins emplie de paternalisme et de moralisme.
    Oui, les jeunes d’aujourd’hui, contrairement aux paroles de certains et aux clichés véhiculés, sont capables d’engagement. Oui vous êtes capables d’engagement, vous avez des convictions et vous nous le montrez particulièrement aujourd’hui.
    Oui, nous devons avoir confiance en vous pour que vous ayez la place qui vous revient dans l’élaboration des projets et plus largement des politiques qui vous concernent !

    crips,jean-luc romero


    Je pense sincèrement qu’à la fin de l’après-midi, c’est bien l’altruisme et l’engagement qui seront récompensés Ceci ne doit pas vous empêcher, bien au contraire, de défendre votre projet de la meilleure des façons devant le jury qui sera, à n’en pas douter, exigeant ! Avant de laisser la parole à Gabriel, le responsable du pôle scolaire au Crips, je voudrais remercier Jihenne, chargée de projets au pôle scolaire ainsi que l’ensemble des personnes du Crips qui ont participé à l’accompagnement à la création de vos projets et à l’organisation de ce concours. Mes remerciements vont bien sûr aussi vers les membres du jury, des professionnels reconnus qui ont très gentiment accepté de donner de leur temps et les lycées et CFA qui ont accepté de participer à ce projet, aux équipes éducatives et aux jeunes qui ont mis créativité et envie au service de ce concours. Je vous remercie toutes et tous et vous souhaite une belle après-midi très constructive, riche en débats et en compétition !
    Je vous remercie.

     

  • « Ma mort m’appartient » « My death belongs to me » traduit en anglais

    A l’occasion de mon intervention à Dignity in Dying, l’association sœur de l’ADMD en Grande-Bretagne, j’ai pu apporter mon dernier livre « Ma mort m’appartient » traduit en anglais par Jacqueline Jencquel sous le titre « My death belongs to me. ».
    Nos amis anglais en plein débat sur la fin de vie mais aussi les associations sœurs dans le monde pourront ainsi connaître mon combat pour la fin de vie en France et la mobilisation de l’ADMD-France pour obtenir une loi.

    admd,jean-luc romero,did

     

  • Intervention au Board de Dignity in Dying à Londres

    Les deux précédentes années, je suis intervenu à l’assemblée générale de l’association anglaise sœur de l’ADMD « Dignity in dying ».
    Cette année, le board m’a invité avec Jacqueline Jencquel, à venir évoquer la situation française au regard de la loi sur la fin de vie actuellement en discussion au Sénat et notre stratégie actuelle pour aboutir enfin à une loi d’ultime liberté en France.
    Il sera aussi intéressant pour nous de connaître leur propre stratégie alors qu’une proposition de suicide assisté a été adoptée par la chambre des Lords.

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  • Oui, l’homophobie - numérique - tue ! (Tribune publiée dans Le Plus - Obs)

    « @JeanLucRomero on peut aussi rêver d’une lapidation de l’immonde Romero en place publique en Iran… » / « un grand homme ce @JeanLucRomero ? Non, une sangsue, un parasite ! Une grosse merdre ! Une pourriture qui mériterait d’être pendue » / « 10% des Français vont mourir, mais un seul veut les tuer. Heil @JeanLucRomero » / « @JeanLucRomero Et les « cathos friendly » te pissent dessus. Pour ma part j’aimerais t’euthanasier au 9 mm » … Voilà quelques-uns des tweets homophobes que je reçois au quotidien. Alors, bien évidemment, les comptes sont supprimés quelques heures ou jours après et les messages homophobes, injures et appels aux meurtres se retrouvent quelques instants après sur d’autres comptes qui seront eux-mêmes supprimés quelques temps après … Même s’il peut être considéré que la meilleure des réponses à l’insulte est l’indifférence méprisante, j’ai souhaité saisir le procureur de la République et porter plainte contre les auteurs de quelques-unes de ces diatribes homophobes.
    Et j’irai jusqu’au bout ! Un premier procès est d’ailleurs prévu en octobre prochain contre une de ces twittos qui appelle à ma mort. En effet, pour ce qui me concerne, je pense avoir la peau dure, je suis un militant depuis de nombreuses années et je sais que ce combat pour l’égalité provoque l’ire des professionnels de la haine et des frustrés tellement heureux de penser qu’internet est un havre de paix propre à déverser leur haine et, soyons francs, leur mal-être. Mais qu’en est-il de toutes ces autres personnes qui sont discriminées et harcelées par les homophobes et les transphobes? Je souhaite rappeler que, selon une étude de 2013 de Sida info service, 81% des personnes homosexuelles interrogées évoquent au moins une situation discriminante vécue dans un des domaines de la vie quotidienne (moqueries, dénigrements, injures, harcèlements, outing, agressions physiques). Plus de 80 % des participants à l’étude vivent avec l’appréhension d’être discriminées. A la clé, mal-être, solitude, prises de risques mais bien sûr les harceleurs homophobes n’ont en cure et ça, cela ne peut être accepté dans notre démocratie ! D’où ma plainte que je qualifie presque de collective.
    De manière plus globale, je plaide pour que les réseaux sociaux soient beaucoup plus attentifs face à ce déferlement homophobe et transphobe. Le dernier rapport de SOS Homophobie, rendu public il y a quelques jours, constate qu’Internet est le principal vecteur d’homophobie avec près de 40% des signalements faits à l’association en 2014. Jusqu’à maintenant les réseaux sociaux, principalement Twitter, ne sont pas assez réactifs face à ce phénomène malgré les promesses et les tables rondes organisées avec les ministères concernés. Comme le note le SOS Homophobie, les sociétés américaines sont beaucoup plus promptes à réagir dès qu’il s’agit de droits d’auteur ou de pudibonderie…
    Concernant l’homophobie, on a plutôt l’impression objective et constatée d’un laisser-faire ! Cela ne peut durer.
    Bien évidemment, certains auront à cœur de se draper dans le sacro-saint principe de la liberté d’expression dans sa version la plus large, sans limite, dénonçant toute intervention sur ce sujet forcément, assurément et définitivement liberticide. Sur ce point, j’avoue mon ignorance, je pensais naïvement qu’un appel au meurtre était quelque chose susceptible de heurter légitimement un tant soit peu la loi française et surtout les Français ...
    D’autres diront que, entre les paroles et les actes, il y a un fossé très majoritairement infranchissable et qu’il faut plutôt prendre ça pour de l’humour, en tout cas avec de l’humour. Première réaction : sincèrement désolé, ça me fait pas rire, ni rire jaune, ni ricaner. J’essaierai de dire à mon voisin dans le RER que j’ai envie de le tuer pour voir sa réaction. Je ne suis pas persuadé qu’il rigole aux éclats… Deuxième réaction : oui, il n’y a pas forcément de passage à l’acte entre les paroles et les actes - encore heureux ! Que dois-je en conclure ? Que j’ai le droit d’avoir des paroles racistes, antisémites et homophobes parce que les paroles, finalement, ce n’est pas si pas grave que ça ? Allez dire ça aux familles des jeunes gays qui se suicident après un harcèlement homophobe subi au quotidien sur Facebook ou Twitter… Les dernières études montrent qu’un jeune homosexuel a au minima trois fois plus de risques de faire une tentative de suicide qu’un jeune hétérosexuel. Mais bien sûr, ce n’est la faute de personne…
    Alors, oui, l’homophobie numérique tue : il faut totalement en prendre conscience et la combattre à la hauteur des drames humains qu’elle provoque. A Facebook et Twitter d’agir en conséquence. A défaut, la justice devra leur rappeler le droit à l’intégrité et au respect de chaque citoyen de notre pays. Qu’il soit homo, hétéro ou trans …

  • Journée internationale de lutte contre l’homophobie : Homos, le silence ou la prison ? (Tribune diffusée dans The HuffPost)

    Un homme aime un homme. Une femme aime une femme. Une situation simple. Un amour beau, touchant. Un amour éphémère ou éternel, qui peut le savoir ?
    La seule chose que je sais est que cet amour est un crime dans plus de 70 pays à travers le monde. Oui, vous avez bien lu, dans plus de 70 pays l’homosexualité est un délit, un crime, pour lequel on enferme les personnes, on les lapide, on les tue. En 2015, c’est la réalité, une réalité incroyablement dramatique.
    Depuis longtemps, l’ensemble des associations de défense des droits humains exige la dépénalisation universelle de l’homosexualité : une revendication aussi simplement exprimée qu’extrêmement compliquée à faire voter. C’est pour cela que la date du 15 juin 2011 a été considérée comme historique : à cette date, le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies adoptait une résolution relative à la dénonciation des violations des droits humains fondés sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre. Cette résolution est la première à soutenir les droits LGBT et surtout à condamner les actes homophobes, donc, de ce fait, l’ensemble des législations pénalisation l’homosexualité.
    Cette résolution, qui a fait naître un espoir immense, était une étape ou en tout cas devait l’être : a-t-elle été suivie d’effets ?
    Non, quand on regarde la situation dramatique en Afrique où plus des trois quarts des pays criminalisent l’homosexualité (donc passible d’emprisonnement jusqu’à la perpétuité), où la peine de mort est appliquée à l’encontre des homosexuels dans trois pays, où une véritable chasse à l’homme est organisée, une traque des homosexuels, au Nigeria, en Ouganda, en Egypte, au Cameroun et dans bien d’autres pays ... Rappelons-ici les propos du vice-président du Kenya tenus il y a à peine quelques jours: « Il n’y a pas de place pour l’homosexualité [au Kenya]. Nous ne la tolérons pas […] car cela viole nos croyances religieuses et culturelles. »
    Non, quand on voit qu’en Inde, la Cour suprême a rétabli la pénalisation de l’homosexualité. Dans la plus grande démocratie du monde …
    Non, quand on ne peut que constater l’instauration par Poutine d’une véritable homophobie d’Etat en Russie via une loi de 2013 qui sanctionne la «propagande homosexuelle ». Une loi qui est malheureusement en résonnance avec une population où les discriminations à l’encontre des LGBT sont légitimées. D’après les dernières enquêtes d’opinion, 34% des personnes interrogées croient que l’homosexualité est une maladie, 49% préféreraient que l'on soigne les homosexuels soit psychologiquement, soit physiquement. 16% pensent qu’il faudrait les isoler, et 5% estiment que la solution serait de les « liquider » physiquement. Sans commentaire. J’étais à la première Gay pride en Russie en 2006, je peux témoigner de la violence et de l’incompréhension de très nombreux Russes à l’égard de l’homosexualité.
    Clairement, la diplomatie française n’a pas le droit de rester les bras croisés devant cette situation dramatique et qui s’aggrave de jour en jour. La France se doit d’être leader dans ce combat car oui, les droits humains doivent quelques fois et heureusement dépasser les seuls intérêts économiques et financiers !
    Et la France dans tout cela ? Après tout, nous sommes le pays des droits de l’homme, un pays où l’homosexualité a été dépénalisée il y a plus de 30 ans - seulement 30 ans devrais-je dire ! - un pays où les couples de même sexe peuvent se marier. Donc tout va bien, tout irait bien ?
    Oui, si on n’évoque le fait pas que les actes homophobes ont augmenté de 78% en 2013, selon SOS Homophobie avec une agression physique tous les deux jours …
    Oui, si l’on oublie le terrible déferlement homophobe qui a accompagné l’ouverture du mariage aux couples de même sexe.
    Oui, si on ne rappelle pas que 81% des LGBT (enquête de Sida info service) évoquent au moins une situation discriminante vécue dans un des domaines de la vie quotidienne (moqueries, dénigrements, injures, harcèlements, outing, agressions physiques).
    Oui, si on ne dit pas que le taux de suicide chez les jeunes homosexuels est trois fois plus élevé que chez les jeunes hétérosexuels…
    Oui, si l’on ne parle pas du déferlement homophobe constaté sur les réseaux sociaux. Dénigrements, insultes, appels aux meurtres, à la pendaison, à la lapidation, j’en suis victime comme tant d’autres. En tant que militant, cela m’atteint mais bien moins que beaucoup de jeunes …
    J’affirme que l’homophobie véhiculée sur les réseaux sociaux doit être condamnée tout comme le racisme, l’antisémitisme et le sexisme doivent l’être fermement. A la même hauteur et avec la même sévérité.
    Voilà la réalité en France aujourd’hui, dans une société qui se veut plus tolérante et plus ouverte.
    Comprenons-nous bien : par mes propos, je ne souhaite pas dresser un parallèle entre la France et un pays criminalisant l’homosexualité. Je veux seulement dire que le combat pour les droits LGBT est un combat universel, un combat qui doit mêler répression étatique de l’homophobie, l’octroi d’un vrai statut de citoyen (comment accepter l’autre alors que l’Etat ne lui accorde pas le statut de citoyen à part entière ?) et une politique ambitieuse d’éducation à la tolérance.
    Un combat nécessaire à porter. Espérons alors que des annonces seront faites pour cette Journée internationale de lutte contre l’homophobie. Des annonces à la hauteur du défi !

  • Save the date : 11 juin : Soirée des 20 ans d'ELCS !

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  • Conseil d’administration de l’ADMD

    Je n’aurai pu profiter d’aucun pont cette année… Ce samedi 16 mai, se déroulera le conseil d’administration de l’ADMD.
    Un conseil très chargé avec de nombreuses délibérations statutaires pour notre prochaine assemblée générale qui se déroulera en septembre à Annecy, la présentation de l’ADMD Tour que Christophe Michel et les jeunes organisent cet été et nos pique-niques militants de rentrée. Nous évoquerons bien sûr notre stratégie sur la loi fin de vie actuellement en discussion au Sénat.

     

  • Remise du Prix du Refuge contre l’homophobie et la transphobie

    Ce vendredi, en fin d’après-midi, seront remis les prix du Refuge sur les initiatives contre l’homophobie et la transphobie à la mairie du 12ème arrondissement. Le Refuge Ile-de-France a en effet son siège dans notre arrondissement.
    Ce jury dont je fais partie est présidé par la courageuse Christiane Taubira.

     

  • « Frères jusqu’au bout » de Damien et Nicolas Delmer, à lire et relire !

    Je viens de relire le livre de mes amis Damien et Nicolas Delmer « Frères jusqu’au dernier souffle » paru en janvier dernier en plein débat sur la fin de vie.
    Je connais Damien depuis quelques années. Avec Christophe Michel, il dirige la commission des Jeunes de l’ADMD.
    Depuis que Damien et Nicolas ont quitté l’Ile-de-France pour rejoindre Amélie-les-Bains, j’essaie d’aller les voir chaque trimestre. Ils sont donc devenir des amis chers.
    Damien et Nicolas souffrent de la mucoviscidose. Ils n’auraient pas dû connaître leurs 20 ans. Ils ont 35 ans…
    Dans ce livre pudique et émouvant, les deux jumeaux racontent la vie avec la maladie et leur peur de mourir dans de terribles conditions.
    Ne croyez pas pour autant que ce livre est triste. Bien au contraire, ces pages pétillent de vie, de bonheur et surtout d’amour.
    Malgré la souffrance et la contrainte de traitements trop lourds, Damien et Nicolas nous donnent une vraie leçon de vie. Mais ils nous rappellent aussi que cette vie sera meilleure le jour où ils seront rassurés par une loi qui leur permettra de partir dignement quand leurs souffrances seront devenues totalement insupportables.
    Un livre à lire. Et surtout relire !

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  • Vote des subventions culture au conseil de Paris 12

    Hier soir, au conseil d’arrondissement de Paris 12, une subvention de 8000€ a été votée pour l’association DELIDEMO qui sensibilise à l’intérêt du livre et de la lecture. D’autre part, la Maison d’Europe et d’Orient s’est vu voter une subvention de 40 000€ pour continuer son travail en faveur de la diffusion des littératures étrangères et de la lecture publique.
    Il restera au conseil de Paris  à valider définitivement ces subventions importantes pour le développement de la culture dans notre arrondissement.

     

  • Conseil d’arrondissement de Paris 12

    paris, jean-luc romero, catherine baratti-elbazCette journée particulièrement chargée est loin d’être terminée car ce soir se déroule le conseil d’arrondissement de Paris 12 présidé par la maire Catherine Baratti-Elbaz.
    Pour ma délégation culture, je devrai défendre deux subventions, l’une pour l’association DELIDEMO et l’autre pour la Maison d’Europe et d’Orient.

     

  • Commission culture de proximité à la mairie de Paris 12

    En fin d’après-midi, j’animerai la commission culture de proximité de la mairie du 12ème arrondissement de Paris.
    Cette commission, qui se réunit trois fois par an, accorde des financements pour les projets culturels de proximité.
    La commission est composée de représentants de tous les groupes du conseil d’arrondissement mais aussi des acteurs culturels de notre arrondissement.

     

  • Invité de Sylvain Augier sur Sud Radio à 14h00

    sylvain augier, jean-luc romero, sud radioA l’occasion de la sortie de mon livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? », je suis l’invité de l’émission « Qu’est-ce qui vous fait courir ? » animée par Sylvain Augier ce lundi 11 mai à 14h00 sur Sud Radio.

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  • Ouverture du concours du Crips

    A 13h30, j’ouvrirai le concours du CRIPS organisé auprès des lycéens et apprentis Franciliens à la région Ile-de-France.
    Sept lycées franciliens et un CFA ont été sélectionnés à ce concours.

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  • Célébrations de mariages à la mairie du 12ème ardt

    Ce samedi, j’aurai le plaisir de célébrer de nombreux mariages à la mairie du 12ème arrondissement de Paris.
    C’est toujours un grand plaisir que d’unir ainsi un couple qui s’aime.
    Cette mission est sûrement l’une des plus agréables que doive mener un élu municipal.
    En attendant, beaucoup de bonheur aux jeunes époux que je vais unir ce samedi 9 mai !

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  • Dîner de la commission des Jeunes de l’ADMD

    Durant ce pont du 8 mai, Christophe Michel, co-président de la commission des Jeunes de l’ADMD organise un séminaire de sa commission.
    Durant trois jours, les membres jeunes de l’ADMD vont travailler sur leur stratégie pour convaincre les jeunes de rejoindre notre combat.
    Je serai heureux de les retrouver ce soir pour un dîner qui se déroulera dans le 12ème arrondissement de Paris.

     

  • Dépôt de gerbe pour le 70ème anniversaire de la victoire du 8 mai 1945

    En ce 70ème anniversaire de la victoire du 8 mai 1945, je déposerai une gerbe au monument aux morts du 12ème arrondissement de Paris au nom du président de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon.
    Cette cérémonie sera présidée par Catherine Baratti-Elbaz, maire du 12ème ardt.

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  • Session du conseil régional sur les JO et l’aide au Népal

    LogoIledeFrance.pngCe jeudi 7 mai, le conseil régional d’Ile-de-France se réunit pour une session spéciale consacrée à la candidature de Paris aux jeux olympiques et paralympiques mais aussi pour assurer notre solidarité avec le Népal violemment frappé par un terrible tremblement de terre.

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  • Mon débat sur MCE

  • Vernissage de Im[ex]pression urbaine au Centre Maurice Ravel

    Ce mardi, à partir de 19h, se déroule le vernissage de l’exposition Im[ex]pression urbaine de Guillaume Lepeigneux au Centre d’animation Maurice Ravel situé dans le 12ème arrondissement de Paris.
    Un exposition qui s’inscrit dans le festival des cultures urbaines  et qu’il ne faut pas rater. Vous avez jusqu’au 23 mai pour la découvrir !

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